Actualité du 6 décembre 2025
Thème : facture électronique
Cette semaine, le sujet le plus discuté autour de la facture électronique concerne la préparation au nouveau calendrier 2026‑2027, l’arbitrage PPF vs PDP et le choix des formats (Factur‑X, UBL, CII). Les directions financières et SI veulent des réponses concrètes pour réussir la réception généralisée en 2026, sécuriser l’émission progressive et garantir un archivage probant sans rupture opérationnelle. Pour un socle commun, vous pouvez comprendre la facture électronique en 5 minutes .
La généralisation de la facturation électronique sert un double objectif : conformité TVA et efficacité des processus B2B. En France, le cadre public s’appuie sur le Portail Public de Facturation (PPF) et un réseau de Plateformes de Dématérialisation Partenaires (PDP), au cœur de la trajectoire 2026‑2027. Les annonceurs et médias spécialisés relaient massivement ce triptyque « calendrier — PPF/PDP — formats ». Pour un cadrage officiel et à jour, consultez les ressources de la DGFiP, du PPF et le règlement eIDAS .
En pratique, la montée en charge met l’accent sur la réception (fiabilisation des canaux, annuaire B2B, statuts), puis l’émission (qualité des données, contrôles amont, intégrations ERP), avec un objectif clair : moins de rejets, meilleure visibilité cash et traçabilité bout en bout.
Le PPF offre un canal public de référence. Les PDP, elles, apportent des services à valeur ajoutée (connecteurs, SLA, pilotage des statuts, routage multi‑formats) et s’intègrent finement à vos outils via API. Le bon choix dépend de vos volumes, de votre SI et de vos flux (B2B domestique, international, e‑reporting). Pour aller plus loin, explorez notre page Plateforme PDP immatriculée : rôle et avantages .
Conseil opérationnel : priorisez un pilote sur un périmètre représentatif pour sécuriser la réception, valider vos mappings et vos contrôles, puis montez en puissance sur l’émission.
Une e‑facture n’est pas un PDF envoyé par e‑mail : c’est un message structuré conforme à la norme EN 16931 (Factur‑X, UBL, CII). Ce socle alimente l’automatisation comptable, la réduction des erreurs et un suivi par statuts normalisés.
Côté sécurité et preuves, deux piliers s’imposent : la signature électronique (authentification, intégrité, conformité eIDAS) et l’archivage probant 10 ans (intégrité, horodatage, journal d’audit). Si vous démarrez, sécurisez d’abord votre archivage électronique à valeur probante , puis déployez les formats structurés sur vos flux principaux.
Pour une vision officielle et à jour, référez‑vous à la DGFiP, au PPF et au règlement eIDAS .
Plan d’action 90 jours : cartographier vos flux et référentiels, choisir formats et canaux (PPF/PDP), automatiser les contrôles amont et archiver avec valeur probante. Pour cadrer votre trajectoire, parcourez notre dossier « dématérialisation des factures : formats et canaux » .
La facture électronique s’impose comme le chantier stratégique du moment. Miser sur les formats, l’interopérabilité PPF/PDP et l’archivage probant vous permettra de réduire les coûts, accélérer les encaissements et fiabiliser vos contrôles. Conseil pratique : cadrez un pilote dès maintenant, alignez vos données et sécurisez vos intégrations pour être prêt en 2026.
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